La vie
Posté par ENO filles le 12 novembre 2014
Un montage vidéo FORMIDABLE… Awesome … A voir et à revoir.
Moi, je n’avais jamais vu. Merci Jeannine D.
Publié dans Portrait | Pas de Commentaire »
Posté par ENO filles le 12 novembre 2014
Un montage vidéo FORMIDABLE… Awesome … A voir et à revoir.
Moi, je n’avais jamais vu. Merci Jeannine D.
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Posté par ENO filles le 25 mai 2014
De la kitscherie à l’œuvre d’art, le GIF, pur produit de la culture geek, acquiert ses lettres de noblesse. Les vidéos et photos prises sur smartphone, dérivés de formes préexistant à Internet, ont déjà trouvé de multiples espaces d’exposition et engendré de nombreux débats quant à leurs prétentions artistiques ou journalistiques – Le Monde.fr
La plupart des gens ont rencontré des GIF animés sur Internet – une série de photographies portées à la vie dans une animation de quelques secondes.
Ils peuvent être drôles, inventifs ou même poignants, mais sont-ils une nouvelle forme d’art ou juste un truc?
Tel un GIF, l’histoire du GIF peut se résumer en quelques images. Le format, inventé en 1987 par CompuServe, est devenu populaire sous sa forme animée, née deux ans plus tard, permettant de créer de petites animations d’images synthétiques, puis de photos.
Bien des boucles d’images échangées entre internautes plus tard, ce vestige de la préhistoire du Web est devenu un format de partage de perles vidéo si populaire qu’il a été élu « Mot de l’année » en 2012, à l’occasion de l’édition américaine du dictionnaire d’Oxford University Press et de ses 25 ans d’existence.
Cette vidéo revient sur l’histoire du GIF animé réalisée dans le cadre du « Moving the Still : A Gif Festival », organisé en ligne en décembre 2012 pendant la Miami Art Week .
Le GIF, ou «photographie de mouvement», sous-genre hybride flanqué d’une solide réputation kitsch, fait à son tour son « coming-out arty »
Retour sur une success-story au charme hypnotique.
Il semble difficile de considérer le GIF comme art mais début février, la Saatchi Gallery, à Londres, s’associait à Google+ pour lancer le « Motion Photography Prize », un concours de photographies en mouvement sous format GIF.
Il n’est pas surprenant que ces deux organisations soient partenaires dans cette entreprise.
La Saatchi Gallery est toujours à la recherche d’être à l’avant-garde de la «prochaine grande chose» dans l’art et Google vient juste de venir avec son propre programme pour la création de ces animations.
Ensemble, ils ont imaginé ce concours ouvert à tous, avec l’objectif d’offrir de la visibilité aux créateurs de gifs animés artistiques sur Internet, pour récompenser les meilleurs gifs, premier prix d’art de ce genre.
En quelques semaines, ils ont réussi à récolter près de 4 000 participations artistiques de gifs, preuve que cet art est en train de prendre une véritable importance sur Internet.
L’intérêt de la Saatchi Gallery pour Internet et ses possibilités créatives ne date pas de ce concours. Déjà en 2006, le musée avait lancé une galerie en ligne, Saatchi Art, permettant aux artistes du monde entier d’exposer leurs œuvres. Un an plus tard, les étudiants des écoles d’art y trouvaient un lieu de partage façon réseau social.
Plus récemment, en 2012, la galerie exposait une immense installation vidéo de l’artiste américain Christopher Baker, intitulée
«Hello World ! Or: How I learned to Stop Listening and Love the Noise »
regroupant 5 000 vidéos glanées sur les plateformes de mise en ligne de type YouTube.
La Saatchi, qui décrit le GIF comme « une nouvelle tendance » de la photographie, explique le lancement de ce « premier concours international » du genre, par la « reconnaissance » du « potentiel » de cette « nouvelle forme d’art ».
Le réseau social de Google, Google+, se targue d’être la seule grande plateforme permettant de partager des GIFS – elle met d’ailleurs à disposition de ses utilisateurs des outils pour transformer des photos en GIFS animés.
De fait, Facebook et Twitter, moins fans de cette « esthétique épileptique », en restreignent encore l’utilisation.
Le 16 avril, le jury – qui comptait dans ses rangs le réalisateur Baz Luhrmann, ainsi que les artistes Cindy Sherman, Tracey Emin et Shezad Dawood – présentait les œuvres retenues parmi quelque 4 000 propositions. Visibles en ligne, sur le site Internet de la galerie, celles-ci font également l’objet d’une exposition dans le musée jusqu’au 24 mai (voir ci-dessous).
*Le Prix Mouvement Photographie est exposé au dernier étage de la Saatchi Gallery, King Road, SW3 4RY jusqu’au 24 mai.On y trouve aussi l’impressionnant Pangaea -Art africain et latino-américain- et le Nouvel Art Britannique, New Order II.
LE JURY était composé du réalisateur Baz Luhrmann (Gatsby le Magnifique, Roméo + Juliette, Moulin Rouge), les artistes Cindy Sherman, Shezad Dawood et Tracey Emin et enfin le CEO de la Saatchi galerie, Nigel Hurst.
LES 6 FINALISTES des 6 catégories
1. Christina Rinalidi pour l’urbain, remporte le grand prix (un voyage avec le photographe de son choix).
2. Kostas Agiannitis en lifestyle,
3. Matthew Clarke pour le travail de nuit,
4. Emma Critchley en portrait
5. Micaël Reynaud dans la catégorie action
6. Stefanie Schneider en paysage,
Depuis la publication des résultats, de nombreux médias crient à l’institutionnalisation du gif animé. En effet, l’organisation d’un tel concours permet de mettre en lumière le travail d’artistes du Web.
Néanmoins, on observe dans la faible dotation des artistes et la campagne de communication amateur menée autour du concours que cette pratique est encore considérée comme un phénomène de mode.
Par exemple, les finalistes du prix ne seront exposés que sur le site internet Saatchi art et dans le cadre d’une exposition collective. Le gif n’est encore traité que comme un phénomène web.
Le nombre de galeries à se risquer à exposer des artistes de gifs animés demeure pour le moment assez faible.
Mais beaucoup de travaux ne se sentent plus comme quelque chose de rapidement concocté sur un téléphone mais plutôt d’une pièce réfléchie de l’art.
Espérons que les finalistes du Motion Photography Prize encourageront d’autres créateurs à repousser les limites du médium.
Il est facile de se moquer de l’idée d’artiste sur l’engouement GIF, mais Google+ qui prend maintenant en charge le format de fichier d’animation, prend la chose très au sérieux. Le géant de la recherche collabore avec la Saatchi Gallery pour accueillir un certain nombre d’images en mouvement, en boucle, affichée sur les écrans de télévision géants.
Il y a un soupçon de compétitivité. Un panel de juges, y compris son artiness (ayant un intérêt ostentatoire ou affectées ou désir d’imiter les artistes ou les normes artistiques) dont Baz Luhrmann, sélectionnera un seul GIF victoire ce soir.
Ce GIF a été conçu par l’artiste et extrême peintre de l’ongle, Christina Rinaldi, qui, par pure coïncidence, nous a permis de repenser le site « Engadget » il y a quelques années.
Il a été créé à partir d’un tas d’images fixes qui ont été prises sur un iPhone 5, puis éditées comme une pile à l’intérieur de Photoshop. Christina makes around three of these little videos each day, and for her it’s all about escaping the restrictions of regular storytelling:
Pour Christina il s’agit d’échapper aux restrictions de la narration ordinaire:
»Le GIF commence réellement à partir du bas, avec le nettoyeur de fenêtre commence à se déplacer du fond de son balayage.
Pour moi, c’est une chose subtile, mais elle est la plus grande différence entre cela et film.
Avec le film que vous attendez un début et une fin et une sorte de point culminant, mais ce n’est pas juste un cycle et tout dépend de l’endroit où vous l’attrapez. »
Il y a chez Christina Rinaldi la fluidité gracieuse d’un laveur de vitres au travail.
Ensuite, nous aimons le gif de Kostas Agiannitis parce que c’est coloré et il nous rappelle le Cinemagraph, une application du Nokia Windows Phones qui permet de déplacer seulement certaines parties d’une image.
La Britannique Emma Critchley qui a remporté la catégorie « les gens », emploie le même type de technique que ci-dessus, avec seulement les pieds de la guy et les rayons de lumière en mouvement comme il se tient sous l’eau.
Il a lieu par les poids dans sa main et en quelque sorte il a réussi à éviter cette chose où vous sautez dans l’eau et obtenir une énorme bulle d’air dans votre short.
4. Catégorie: Nuit
Un spectacle familier, le soleil tombe sur les rues de Londres, capturé par Matthew Clarke.
C’est un pigeon. Mais au moins, c’est un pigeon relativement propre, photographié et transformé en un GIF par le français Micaël Reynaud.
Celui-ci est réalisé par l’artiste professionnel Stéphanie Schneider et intitulé «Instantdreamsnet. »
Il a apparemment remporté 4000 autres entrées et pour le mener aussi loin, nous allons étouffer nos becs et vous permettent de décider si c’est tout bon.
De toute façon, c’est le sixième, et que le meilleur GIF gagne.
Les six finalistes exposés n’auraient pas été nos meilleurs choix, mais heureusement, trois petits écrans à l’arrière de la boucle de la galerie présentent les 54 autres travaux présélectionnés.
Dans ces écrans il y a de véritables joyaux être trouvés et notre conclusion est que la subtilité est où la vraie puissance de ce mensonge moyennes.
- Un carrousel tourne tandis que le parc derrière elle reste statique et l’eau qui coule est le seul mouvement dans un coin d’un autre travail.
- Notre préféré, réalisé par Marie Edwards comporte une silhouette d’une femme appuyée contre un lampadaire sur une route sombre et le seul mouvement est la condensation de son souffle dans l’air froid. Sa subtilité nous a rappelé les œuvres vidéo de Rob et Nick Carter , où il est difficile de savoir si elles sont des vidéos du tout.
Malgré quelques ouvertures impressionnantes, nous ne sommes pas encore convaincus que le mouvement photographie est sur un pied d’égalité avec les autres médias de l’art…
Mais il est bon de jeter un défi aux notions préconçues de ce qu’est l’art, et cette exposition nous invite à nous demander où se situent les limites.
Si vous êtes au Royaume-Uni et désireux de se mêler avec des gens partageant les mêmes idées à la Saatchi Gallery, l’exposition a ouvert ses portes au public le 16 Avril.
Depuis deux ou trois ans, les GIFs ont connu un regain d’intérêt avec la généralisation d’un débit Internet plus rapide décuplant leurs potentiels, leur production et leur diffusion – d’autant que le format est désormais libre de droits.
Des sites, comme le très populaire Tumblr, s’en sont fait une spécialité.
Esthétiquement parlant, il y a un fossé entre les vieux GIFS animés, les extraits de films convertis en mini-boucles et le cinémagraph.
-Un cinemagraph est une photographie animée d’un léger mouvement répétitif. Il est généralement au format GIF animé et peut donner l’impression de regarder une vidéo. Le terme cinemagraph a été inventé par les américains Kevin Burg et Jamie Beck, respectivement photographe et spécialiste de l’animation qui utilisèrent cette technique pour animer leurs photos de mode à partir de début 2011, à l’occasion de la Fashion Week-
Le principe de ces GIFS nouvelle génération est d’utiliser une série d’images sur un éditeur de type Photoshop ou Paint.net sans masquer les parties de la photo que l’on veut animer, avant de créer un GIF (en voici quelques exemples).
J’aurais aimé vous faire profiter ici du diaporama que j’ai réalisé à partir des images du site mais il est trop lourd pour que je puisse le publier sur le blog.
Je vous invite donc à aller les admirer directement sur le site: Comet line
Outils : faire un cinemagraph at…avec Photoshop
Allez sur Comment ça marche.net
- Je ne sais pas si cette version gratuite est suffisante. Je n’ai pas encore essayé. Il s’agit surement d’une version d’essai.
L’avis du « giffeur » Micaël Reynaud, auteur du pigeon lauréat chez Saatchi
Le Web -designer Micaël Reynaud est très actif sur Google+, où il expose des centaines de GIFS sur sa page, qui affiche à ce jour plus de 13,5 millions de consultations. Il n’utilise cependant pas l’outil interne au réseau social pour réaliser ses montages, mais des outils plus professionnels. Sa définition du GIF, qu’il pratique depuis très longtemps en parallèle de ses travaux en vidéo, photographie et dessin :
« Un montage très pointu d’une toute petite séquence. »
Le format l’intéresse pour son côté laboratoire de recherche technique et formelle: « Les contraintes en termes de poids et d’optimisation sont très fortes, et imposent donc des traitements expérimentaux. On tâtonne au pixel près pour gagner en qualité et en complexité.»
Il apprécie ainsi les possibilités du genre, à mi-chemin entre la photo et la vidéo :
« C’est un terrain de jeu pour créer des séquences surprenantes.
On fait ce qu’on veut pour mettre en exergue un mouvement, un détail, ça peut d’ailleurs être très abstrait. »
Furtives, les images ont ainsi parfois une qualité poétique :
« Le travail sur le time-lapse, l’interpolation et la fluidité des images permet de créer de jolies boucles. La beauté de ces séquences, qui peuvent apparaître comme des vidéos cassées, c’est aussi qu’elles n’ont ni début ni fin. »
Sans faire de surenchère sur le potentiel artistique du GIF, Micaël Reynaud insiste sur sa redoutable « efficacité » :
« C’est un format super-portable, il n’y a pas besoin d’appuyer sur un bouton PLAY, ce que les gens ne prennent pas forcément le temps de faire lorsqu’ils naviguent sur Internet.
Le GIF accroche vite l’attention en s’animant tout seul, même dans un mail.
Légers et autonomes, ils peuvent être lus par tous et partout de la même façon.
C’est vraiment cette simplicité qui fait sa force».
Son GIF de pigeon, qui a été retenu dans la catégorie « ACTION » est un GIF qu’il a réalisé il y a plusieurs années, à partir d’une vidéo.
Ce n’est ni son préféré ni le plus sophistiqué, même s’il se dit ravi de la visibilité que cette distinction lui apporte.
En mai, à l’occasion de la remise d’un prix pour l’ensemble de sa carrière durant la cérémonie des Webby Awards, Steve Wilhite, le créateur du format GIF, s’est dit agacé par l’éternel débat concernant la prononciation du fameux acronyme de Graphics Interchange Format (littéralement « format d’échange d’images »).
Lorsque le terme était désigné « mot de l’année » par l’Oxford American Dictionaries, en 2012, le dictionnaire estimait que les deux prononciations (guif et jif) étaient possibles.
Mais celui qui a créé le format en 1987 alors qu’il travaillait chez CompuServe est formel : «c’est un -g doux, et ça se prononce « jif », fin de l’histoire », a-t-il déclaré.
Le GIF, dont l’usage commun est avant tout humoristique et/ou illustratif, pour traduire en images une réaction, exprimer un sentiment ou faire un commentaire, prend donc son indépendance en devenant une œuvre en soi.
A votre tour de vous essayer en ligne dans ce nouveau genre. Je vous propose quelques sites. La liste n’est pas exhaustive. Et si vous en réussissez un je me ferai un plaisir de le publier sur le blog.
* 7 sites pour créer des gifs animés
- Art et Photographie, par Tabish Khan du 19 Avril 2014
- Le Prix Mouvement Photographie
- la Saatchi Gallery de Londres
- le site internet Saatchi art
- Pangaea (Art africain et latino-américain)
- New Order II, le nouvel art britannique
Toutes les images ci-dessus sont fournies par la Saatchi Gallery
- Le Monde.fr – 05.05.2014
- Le GIF animé – de la kitscherie à l’œuvre d’art
- Le gif animé célébré mais pas encore reconnu
- Cinemagraph: 28 Still Photos With Subtle Motion
- Miami Art Week : « Moving the Still – A Gif Festival »
- Baz Luhrmann, est célèbre pour sa trilogie du « Rideau Rouge », « Ballroom Dancing », « Roméo + Juliette » modernisé, avec Leonardo DiCaprio et Claire Danes, et « Moulin Rouge » avec Ewan McGregor et Nicole Kidman.
|Art & Photography| by: Tabish Khan
Publié dans Arts plastiques | Pas de Commentaire »
Posté par ENO filles le 16 mai 2014
M. TURNER « MIS EN LUMIERE » AU FESTIVAL
Après le film d’ouverture, le Festival est lancé
C’est parti pour la compétition cannoise, et c’est Mike Leigh qui ouvre le bal avec « Mr. Turner ».
Deuxième Palme en vue pour le réalisateur de « Secrets et mensonges » ?
Un film de : Mike Leigh Avec : Timothy Spall, Roger Ashton-Griffiths, Jamie Thomas King , Lesley Manville. Pays : Grande-Bretagne Genre : Film biographique Synopsis : La vie du peintre britannique Joseph Mallord William Turner.
BANDE ANNONCE
SYNOPSIS
Les dernières années de l’existence du peintre britannique, J.M.W Turner (1775-1851). Artiste reconnu, membre apprécié quoique dissipé de la Royal Academy of Arts, il vit entouré de son père qui est aussi son assistant, et de sa dévouée gouvernante. Il fréquente l’aristocratie, visite les bordels et nourrit son inspiration par ses nombreux voyages. La renommée dont il jouit ne lui épargne pas toutefois les éventuelles railleries du public ou les sarcasmes de l’establishment. A la mort de son père, profondément affecté, Turner s’isole. Sa vie change cependant quand il rencontre Mrs Booth, propriétaire d’une pension de famille en bord de mer.
Jouer la carte picturale quand on fait un film sur un peintre, ça peut paraître facile. Sauf que Mike Leigh compose ici des plans en forme de tableaux, d’une beauté renversante et qui tranchent avec la grisaille de certains de ses longs métrages.
Joseph Turner, sa vie, son œuvre, ce sera pour une autre fois. Mike Leigh réalise moins un biopic qu’un beau portrait du peintre et de lui-même.
« Vous êtes quelqu’un d’imprévisible », dit l’un des personnages à Turner, et c’est le meilleur résumé que l’on puisse faire du peintre qui sort le film du classicisme à intervalles réguliers.
Timothy Spall : acteur fétiche de Mike Leigh, il délivre ici une performance dingue en multipliant les nuances.
Dans la lignée de Be Happy ou Another Year, Mike Leigh rappelle qu’il ne faut pas coller l’étiquette « plombante » sur sa filmographie, à travers des touches d’humour efficaces.
TURNER « LE PEINTRE DE LA LUMIERE »
https://www.youtube.com/watch?v=P1YWTVQnSFo
Joseph Mallord William TURNER (1775 – 1850) peintre aquarelliste et graveur britannique.
Son œuvre est marquée par une recherche des mystères de la lumière, de la couleur et des effets de l’atmosphère. On le surnommera le « peintre de la lumière ».
« Elu amant et confident de la lumière par la lumière elle-même »
Un critique dira de lui : « Avant Turner, il n’y avait pas de brouillard à Londres ».
TURNER A LONDRES
En 1871 Claude Monet découvre ses peintures à Londres.
Il a ouvert la voie aux impressionnistes. Certains voient aussi dans son œuvre les prémices de l’abstraction lyrique.
Musique de la video : Ludwig Van Beethoven : Symphonie n° 5 (Allegro con brio) – Wiener Philharmoniker. W. Furtwängler
TURNER ET VENISE
En ce qui me concerne je suis une fan de Turner et de ses aquarelles sur Venise.
Je n’aime pas le brouillard sauf dans ses peintures.
Je n’aime pas le brouillard, sauf celui de Londres et celui de Venise sur la lagune.
La critique semble bonne. Je ne sais pas quand sort le film mais j’irai le voir pour l’amour de la peinture.
J’avais aussi aimé le film « Secrets et mensonges » de Leigh . Alors!
LES ECHOS
Aurélien Ferenczi / Télérama : « Mike Leigh signe un film subtil sur la vie du peintre britannique, créature renfrognée tournée vers la lumière, aussi laid que ses œuvres étaient belles. Voir la critique complète
Oliver Lyttleton / The Playlist : « Nous espérons voir encore d’autres films de Leigh, mais « Mr. Turner » fonctionne comme un résumé et un rappel définitif des trésors que sa carrière nous a apportés. » Voir la critique complète
Marilyne Letertre / Metro News : « Palme d’or 1996 avec Secrets et mensonges, Mike Leigh revient pour la 5e fois sur la croisette avec un biopic consacré au peintre Turner et donne un bel exemple de la palette à adopter pour réaliser un portrait de maître, classique mais de belle facture. » Voir la critique complète
Peter Bradshaw / The Guardian : « Chaque scène de ce film est adroitement gérée ; chaque réplique comique ou moment drôle adroitement amené et chaque performance délivrée avec intelligence et amour. C’est encore un triomphe pour Mike Leigh et Timothy Spall. » Voir la critique complète
Aurélien Allin / CinémaTeaser : « Si l’on ne demandait pas à Leigh de lorgner vers le didactisme des biopics à l’américaine, il n’offre absolument aucune porte d’entrée au public novice, qui se retrouvera ainsi sans doute déconcerté face à ce film ambitieux mais parfois ronflant, superbe esthétiquement mais émotionnellement proche de l’autisme. » Voir la critique complète
Leslie Felperin / The Hollywood Reporter : « Emmené par une performance magistrale de Timothy Spall dans un rôle qu’il était né pour jouer (…), « Mr. Turner » parvient à éclairer la connexion entre biographie et art à travers un élégant euphémisme. » Voir la critique complète
Caroline Vié / 20 minutes : « C’est tout simplement magnifique ! Mike Leigh donne l’impression d’évoluer dans les tableaux du maître. Son film est également une belle histoire d’amour et une réflexion sur la création artistique. » Voir la critique complète
Jonathan Romney / Screen Daily : « Avançant de façon scolaire et sérieuse, « Mr. Turner » pourrait toutefois être le biopic d’art le plus divertissant à ce jour. » Voir la critique complète
Publié dans Festival de Cannes, Peinture | 4 Commentaires »
Posté par ENO filles le 14 mai 2014
Imaginez la difficulté de modeler un voile sur un visage dans un matériau parmi les plus durs de la planète, le marbre (minéral de dureté 3 dans l’ échelle de Friedrich Mohs).
Cette sculpture « Vierge voilée » du XIXe siècle est impressionnante par son effet de transparence. Elle est due à l’ italien Giovanni Strazza.
Voici également d’autres sculptures de voiles sur marbre
« La liberté du prisonnier » de l’artiste napolitain Franschesko Kvirolo (1757) est la plus renommée de ses œuvres pour son habileté à sculpter un filet.
Cette sculpture de Lorenzo Berdini représente l’enlèvement de Perséphone.
Appréciez la texture et la pression des doigts sur la peau.
Visionnez le diaporama
Publié dans Arts plastiques, Sculpture | 2 Commentaires »
Posté par ENO filles le 14 mai 2014
Un envoi de Corte qui mérite UNE DIFFUSION SUR LE BLOG
N’hésitez pas à attarder votre regard sur ces créations picturales où personnages et paysages se dévoilent en se superposant ou en se détachant les uns des autres pour faire naître d’autres mondes emmêlés. N’est- ce point ainsi que le monde réel nous apparaît ?
Publié dans Arts plastiques, Peinture | Pas de Commentaire »
Posté par ENO filles le 30 avril 2014
Un perroquet?
Non !…
Ceci n’est pas un perroquet.
Un ara rouge?
Non!
Ce n’est pas non plus un ara rouge
Regardez de plus près
Il s’agit bien …
… d’une femme
… une femme couverte de peinture
… par l’artiste italien Johannes Stötter
qui a remporté le titre de Champion du monde de peinture corporelle en 2012.
Magnifique non?
The Frog – impressive creation – Fine Art Bodypainting by Johannes
Johannes Stoetter World Champion2012
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